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Voilà des années que l’expression « réchauffement climatique » a cessé d’être une probabilité, c’est bien une réalité et nous y sommes en subissant les premières conséquences.

L’actualité nous le rappelle régulièrement : une inondation désastreuse, une tempête catastrophique, une canicule insupportable, un ouragan dévastateur, une sécheresse interminable, de l’air irrespirable dans une grande ville, etc. Sans parler de la fonte des glaciers et de la montée du niveau des mers, ou de l’impossibilité de vivre dans certaines régions de la Terre si le réchauffement continue.

Voilà aussi des années que les scientifiques nous avertissent de la cause du réchauffement climatique : L’EFFET DE SERRE.

L’effet de serre est une conséquence normale due aux différents gaz composant l’atmosphère. L’enveloppe formée autour de la Terre confine la chaleur donc l’énergie du Soleil, près du sol. Ceci a permis, jusqu’à maintenant, de développer et de maintenir la vie sur la Terre.

Le problème actuel est que certains gaz existent en trop forte proportion dans l’atmosphère, ce qui accentue l’effet de serre et fait monter la température sur la Terre.

Les gaz en cause sont les GES (Gaz à Effet de Serre) et pour l’essentiel il s’agit du dioxyde de carbone (CO2), du méthane (CH4) et du protoxyde d’azote N2O. On démontre que l’excès de ces gaz dans l’atmosphère est la conséquence de l’activité humaine.

La première place est prise par le CO2 qui en 2019 représentait 69 % des émissions de GES.
En deuxième place on trouve le méthane CH4 avec 24 % des émissions de GES en 2019.
La troisième place revient au protoxyde d’azote N2O avec 5 % des émissions GES.

Les émissions de CO2 proviennent pour 69 % de l’utilisation de combustibles fossiles (charbon, pétrole, gaz), pour 10 % de la déforestation et pour 5 % de la fabrication du ciment.

Les émissions de CH4 proviennent pour 55 % de l’exploitation agricole, 15 % de l’extraction du charbon, 12 % des décharges d’ordures, 10 % des feux de forêts et 8 % des fuites de l’exploitation gazière.

Le N2O provient essentiellement de l’utilisation d’engrais azotés dans l’agriculture et des excréments d’animaux.

Il va de soi que, comme pour tout problème dont on connaît la cause, pour revenir un jour à un climat semblable à ce qui existait avant le réchauffement climatique, la solution passe par l’ÉLIMINATION DE LA CAUSE.

Soit : ARRÊTER LES ÉMISSIONS DE GES.

Notons que dans le monde 26 % de l’électricité est produite par du charbon, 31 % par du pétrole et 23 % par du gaz. Les 20 % restant sont assurés par le nucléaire et les énergies renouvelables.

Comment s'y prendre ?

Une fois qu'une personne est consciente des problèmes graves liés au réchauffement climatique et des solutions qui s’imposent elle est confrontée à deux alternatives : la première consiste à ne pas prendre d’initiative et vivre la suite en spectateur ; la seconde est de décider d’agir pour contribuer à enrayer le processus et espérer le retour à un climat satisfaisant.

Pour sa part, ENERCIT a choisi de contribuer à la production d’énergies renouvelables, non émettrices de GES, notamment de l’électricité produite à partir de l’énergie gratuite reçue du Soleil.

Ceci permet d’augmenter l’offre d’énergie renouvelable que pour le moment ne représente que 12 % de l’électricité consommée en France.

L’action d’ENERCIT s’inscrit dans une démarche citoyenne à l’échelle locale où chaque personne, physique ou morale, peut apporter sa contribution pour rendre possible la transition énergétique.

Transition énergétique